En chinant...
En chinant par la Touraine, avec mes sabots...
C'est avec beaucoup de joie que je me suis aperçue qu'une brocante se tenait tous les mercredi matin juste à côté de ma boutique, place de la Victoire si je ne dis pas de bétises. Et une fois, j'ai vu du coin de l'oeil une travailleuse en toile. Hélàs, j'étais déjà bien chargée, et il pleuvait...
Et puis mercredi dernier, libre comme l'air - ou presque - je vois une autre travailleuse ! Je jette un oeil nonchalant sur le reste de la marchandise et fini par demander au vendeur, combien, la petite travailleuse, là-bas ? Il me répond : 10 euros avec tout le fourbis dedans (ah bon, avec un éventuel trésor de brodeuse, pour ce prix-là ?). Qu'auriez-vous fait, ma brave dame... ? comme moi, piqué un sprint vers le distributeur le plus proche, faire une razzia sur le premier malheureux billet de 10 qui passe, et revenir au triple galop vers cet eldorado miraculeux.
Et me voilà, toute guillerette, à la boutique, à dépiauter en douceur cet incroyable butin : des bobines de fils de couleurs - ça sert toujours, des crochets (je sais pas faire, poubelle), des aiguilles - humm... hépatite, sida... méfiante, je jette ; des boutons dans une petite boite à cigarillos... des grands et des petits... pas mal !).
Bon, d'accord, ce n'était pas LE trésor que mon coeur de midinette espérait mais c'est un bon début.
Deuxième étape, délicatement découdre l'espèce de tapisserie, pour en récupérer un gabarit utilisable (j'ai déjà le tissu !!!). Vite fait, bien fait.
Et donc, lundi, armée de ma fidèle machine à coudre, j'ai refait la "poche".
Voici la photo avant :
J'ai voulu nettoyer un peu le piètement, mais comme la peinture (patine ?) vient avec, je l'ai finalement laissé dans son jus (expression des brocanteurs pour dire tel quel).
Je vous fait une petite photo après très vite (demain ?) pour vous montrer.
A très bientôt ! Et bonne nuit !
Sam
C'est avec beaucoup de joie que je me suis aperçue qu'une brocante se tenait tous les mercredi matin juste à côté de ma boutique, place de la Victoire si je ne dis pas de bétises. Et une fois, j'ai vu du coin de l'oeil une travailleuse en toile. Hélàs, j'étais déjà bien chargée, et il pleuvait...
Et puis mercredi dernier, libre comme l'air - ou presque - je vois une autre travailleuse ! Je jette un oeil nonchalant sur le reste de la marchandise et fini par demander au vendeur, combien, la petite travailleuse, là-bas ? Il me répond : 10 euros avec tout le fourbis dedans (ah bon, avec un éventuel trésor de brodeuse, pour ce prix-là ?). Qu'auriez-vous fait, ma brave dame... ? comme moi, piqué un sprint vers le distributeur le plus proche, faire une razzia sur le premier malheureux billet de 10 qui passe, et revenir au triple galop vers cet eldorado miraculeux.
Et me voilà, toute guillerette, à la boutique, à dépiauter en douceur cet incroyable butin : des bobines de fils de couleurs - ça sert toujours, des crochets (je sais pas faire, poubelle), des aiguilles - humm... hépatite, sida... méfiante, je jette ; des boutons dans une petite boite à cigarillos... des grands et des petits... pas mal !).
Bon, d'accord, ce n'était pas LE trésor que mon coeur de midinette espérait mais c'est un bon début.
Deuxième étape, délicatement découdre l'espèce de tapisserie, pour en récupérer un gabarit utilisable (j'ai déjà le tissu !!!). Vite fait, bien fait.
Et donc, lundi, armée de ma fidèle machine à coudre, j'ai refait la "poche".
Voici la photo avant :
J'ai voulu nettoyer un peu le piètement, mais comme la peinture (patine ?) vient avec, je l'ai finalement laissé dans son jus (expression des brocanteurs pour dire tel quel).
Je vous fait une petite photo après très vite (demain ?) pour vous montrer.
A très bientôt ! Et bonne nuit !
Sam